vendredi 1 mars 2019

AVIS DE VENT DU SUD

Les algériens commencent à en avoir assez d'être dirigé par un grabataire qui une fois élu délègue ses pouvoirs à son frère et à son clan.
Que de temps perdu pour un pays disposant d'une jeunesse si importante.
Comme chaque fois qu'un dictateur se trouve confronté à la réalité d'un peuple qui, après l'avoir encensé, ne souhaite que son départ, sa volonté de s'accrocher au pouvoir et de voir sa politique lui survivre, font que les choses se passent rarement dans le calme.
Le printemps arabe aura mis bien longtemps à franchir la frontière tunisienne, mais il se pourrait qu'il y arrive enfin.
Il y aura des dégâts collatéraux, des jeunes vont se battre, d'autres vont quitter le pays. Il se pourrait qu'en raison d'une langue commune et d'une histoire un moment partagée, notre pays devienne un pays d'accueil, au moins provisoire, pour ces émigrés d'un nouveau genre.
Des problèmes d'accueil, d'aide, de difficultés relationnelles internationales nous guettent.
Y sommes nous prêts ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire