lundi 1 mars 2021

 LA PROPAGATION DE LA PANDÉMIE EST-ELLE SENSIBLE AU CLIMAT ?

En examinant l'extension de la pandémie aussi bien dans l'hémisphère nord que dans l'hémisphère sud, les spécialistes ont constaté que celle-ci n'avait pas un caractère saisonnier.

Ne confondons pas saison et climat.

En France, depuis le début de la pandémie, les régions à proximité de l'océan paraissent relativement épargnées.

Dès la première vague, les épidémiologistes qui constataient le bon comportement de l'Aquitaine notamment, pensaient qu'il ne s'agissait que d'un décalage temporel et que la deuxième vague serait beaucoup plus dangereuse pendant que les régions de l'Est seraient plus épargnées.

Après un bref épisode où Bordeaux et Marseille ont été très touchées, ce qui paraissait donner raison aux prévisionnistes, la pandémie s'est durablement installée à Marseille alors qu'à Bordeaux la situation est rapidement revenue aux conditions initiales. Reconnaissons également qu'en début de deuxième vague les Pyrénées Atlantiques ont été très contaminées mais cela n'a pas duré très longtemps.

Il faut constater également que le brassage des populations dans les zones touristiques du Sud-Ouest n'ont pas fait remonter les chiffres plus qu'ailleurs, bien au contraire et que la migration tant redoutée des parisiens vers l'Île de Ré n'a pas été suivie d'un accroissement de la contamination.

De ce fait je pense que le rapprochement des épidémiologistes des météorologistes et climatologues pour examiner cette situation, et peut-être trouver des explications si toutefois l'intuition que j'ai soit confirmée par des constatations sérieuses, devrait être intéressant.

Les vents d'Ouest dominants ne viendraient-ils pas assainir l'Aquitaine alors qu'en d'autres endroits près de la Méditerranée mistral ou tramontane s'opposent aux vents marins.

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