dimanche 28 février 2021

 BRUITS  DE SERINGUES

Sans parler des théories complotistes, que n'entend on pas sur les vaccins anti-covid, aussi bien sur leur efficacité que sur les effets secondaires.

- Sur l'efficacité, dès la fin des études de phase 3 des chiffres annonçaient des pourcentages de protection constatés lors de la mise au point du vaccin. Depuis la fin de ces études les chiffres pour le vaccin Astra Zéneca ne cessent d'évoluer. De 68% en fin d'étude il est passé à 94%en Écosse à la suite de constatations sans comparer deux populations comme les procédures le recommandent. Récemment, des constatations rapportées par le journal Sud-Ouest du jeudi 25 février 2021 me paraissent plus pertinentes que celles déjà publiées. Une microbiologistes, Le Docteur Élisabeth Nicand, ne se contente pas de comparer des moyennes  mais prend en compte la dispersion des valeurs constatées autour de ces moyennes et conclut de ce fait que, si en moyenne Asta Zéneca avec 80% de protection paraît moins performant que PfizerNtech, l'examen de la dispersion des valeurs (écart type), montre qu'il n'y a pas de différence significative. Espérons que cela redonnera confiance aux moins de 60 ans afin qu'ils aillent se faire vacciner.

- Si certains effets secondaires sont bien connus, très légers pour PfizerNtech et plus importants pour Astra Zénéca avec une certaine proportion de syndromes grippaux constatés, que n'entend on pas sous forme de confidence, "je connais quelqu'un qui connait quelqu'un..". La première injection de PfizerHtech ne poserait pas de problème mais la deuxième rendrait malade, Ce même vaccin serait très mal supporté par les moins de 65 ans. Qu'adviendra-t-il du code génétique des personnes vaccinées ?

De ce fait, après une première période où moins de la moitié des français voulaient se faire  vacciner, une deuxième période de ruée sur les vaccins, on assiste maintenant à une troisième période de doutes.

Il est peut-être utile de rappeler que la prise de médicaments ou le fait de se faire vacciner consiste toujours à remplacer un risque majeur, que constitue le fait de contracter une maladie grave, par un risque mineur pouvant provoquer des effets secondaires en général bénins.

Concernant ces effets secondaires immédiats, faut-il rappeler que du temps ou le service militaire existait, la vaccination TABDT (typhoïde, paratyphoïde A et B, diphtérie, tétanos) etait suivie de trois jours de consigne en chambre à cause de probables effets secondaires importants.   

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