jeudi 19 octobre 2017

ECONOMIES PARALLELLES

Je suis toujours surpris lorsque je voyage en Europe, dans les pays les plus proches de la France, comme l'Espagne ou l'Italie, de voir les différentes manière de traiter les commerçants qui sont en infraction vis à vis des règles de la concurrence et du respect des marques déposées.
Nous apprenons très souvent par les journaux télévisés que des opérations de destruction de produits de contrefaçon sont détruits e France, de manière à protéger nos marques nationales, souvent de luxe.
Il est fréquent de voir, dans des lieux touristiques, notamment en Espagne, des vendeurs à la sauvette, proposer ce genre de produits. Ils n'ont que quelques objets à offrir, et il est évident qu'avec un tel commerce, même s'ils portent préjudice à quelques commerçants dument installés, ils ne font pas fortune.
Par contre, aussi bien sur le marché de  Vintimille que dans certains magasins ayant pignon sur rue, notamment aux Baléares, on trouve ces contre façons en grande quantité, et même certains commerçants ne vendent que ce genre d'objets sans aucune appréhension d'être contrôlés et verbalisés par les services de répression des fraudes. Est-ce une manière de lutter contre la pauvreté consécutive au manque d'emploi ?
Comment alors concevoir une harmonisation européenne en ce qui concerne ce genre de commerce si de telles situations sont tolérées dans certains pays et réprimées dans d'autres.

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