La Chine à l'origine de la pandémie a longtemps caché sa responsabilité dans cet événement, prenant ainsi le risque de rendre encore plus difficile son contrôle En bonne politique dictatoriale, elle est allée jusqu'à sanctionner ceux qui n'acceptaient pas de mentir.
En France le Directeur de la Santé, aux ordres du pouvoir en place comme il l'avait été du précédent, a accepté de mentir en jugeant le masque inutile pour se protéger, masquant ainsi sa double responsabilité et l'imprévoyance des instances dirigeantes.
Aux États-Unis, Donald Trump, à la fois pour donner la priorité à l'économie et pour refuser toute attitude raisonnable, prise par la plupart des états, a dans un premier temps refusé de considérer le covid-19 comme une dangereuse pandémie.
Au Brésil, Jaïr Bolsonaro, imitant celui qu'il considère comme son illustre inspirateur, est allé encore plus loin en ayant des attitudes provocantes, pour défier publiquement cette pandémie.
En Angleterre, Boris Johnson qui n'est pas à une versatilité près, après avoir recherché l'immunité collective en laissant se propager le virus, a décrété le confinement.
En Suède, le pouvoir a fait confiance à la responsabilité des citoyens en ne prenant aucune mesure coercitive, ce qui l'a conduit a avoir les plus mauvais résultats de toute la Scandinavie.
En Iran, toujours réfugié derrière une opacité récurrente, le pouvoir n'a déclaré que le tiers des victimes réelles.
En Russie, ce pays très discret pendant plusieurs mois, a subitement voulu montrer qu'en travaillant dans l'ombre, il était devenu le sauveur du Monde en mettant au point un vaccin garantissant deux ans d'immunité alors qu'il n'a pu être testé, au mieux, que pendant quelques mois.
Voila comment le covid-19 est devenu un terrain de jeu bien dangereux pour ces hommes politiques avides de pouvoir et d’hégémonie.
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