lundi 12 mars 2018

BIODIVERSITE

En voyant le gros titre en première page du journal Sud-Ouest du jeudi 8 mars "Rien n'arrête les rats des villes", j'ai pensé que les paysans, éleveurs de moutons et de chèvres, en zone montagneuse devaient avoir un certain sourire aux  lèvres.
Sous couvert de biodiversité on a, dans des zones d'élevage, réimplanté le loup qui n'arrête pas de procréer et décime ainsi les troupeaux. Ils ne veulent accepter une telle situation , manifestent et se battent contre cette décision. On leur oppose la sacro sainte biodiversité, comme s'il n'existaient pas d'autres endroits où cet animal n'a cessé de vivre et de croitre.
Maintenant que dans les grandes villes, en ajoutant aux difficultés financières pour les maintenir en bon état de propreté, vient s'ajouter le fait que les produits efficaces issus de la pétrochimie et de la chimie organique sont interdits d'emploi, la biodiversité peut suivre son libre cours.
Sur l'édition du 9 mars du même journal on apprend que l'état est condamné parce que l'ours n'est pas assez protégé. L'état et les collectivités locales seront ils condamnés également parce que l'homme est mal protégé contre les rats ? C'est une vraie question.
Rien n'est parfait !

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