samedi 8 avril 2023

 ILS FONT LE LIT DU RASSEMBLEMENT NATIONAL

Un sondage récent indique que si l'élection présidentielle se déroulait actuellement, Marine Le Pen arriverait en tête au premier tour et serait élue au second avec 55% des suffrages.

Ce n'est pas une surprise quand un gouvernement et un Président de la République refusent d'entendre la colère qui monte dans le pays, un Président élu par défaut et qui se considère investi des pleins pouvoirs, le parti le plus important de la gauche d'opposition qui préfère chahut et invectives au débat démocratique. Comment  pourrait-il en être autrement ?

Le pays ne croit plus au front républicain, cette mascarade à laquelle je reconnais avoir crue et partagée, qui n'est que l'accord d'un instant et qui n'a de sens que si de telles décisions se traduisent, par la suite dans les faits, par la recherche de compromis permettant au pays d'avancer dans le respect des valeurs démocratiques.

La classe politique, intransigeante et sure d'elle, ne veut pas entendre les arguments des très rares responsables politiques raisonnables et réalistes, ce qui permet au Rassemblement National, dans la discrétion et sans intervenir, ce que l'on prend pour de la sagesse, selon l'expression de "rafler la mise"  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire