dimanche 7 juin 2020

U.S.A., UN PASSÉ MAL DIGÉRÉ, UN AVENIR PRÉOCCUPANT

À la suite de l'étouffement par un policier ayant provoqué la mort de George Floyd aux États- Unis, de nombreuses manifestations antiracistes se sont transformées en émeutes dans les plus grandes villes du pays.
Les manifestants étaient à la fois des noirs et des blancs, et ce signe est encourageant, tout en condamnant les violences qui ont suivi les manifestations, mais certains noirs s'en s'ont pris à des policiers de même couleur, les considérant comme des traîtres. Il y a donc parfois, dans ces manifestations antiracistes, des traces et des germes de racisme qui de ce fait serait anti-blanc.
Les États-Unis n'ont pas digéré leur passé raciste, il n'y a pas si longtemps, les transports en commun ne permettaient pas la mixité ethnique et, encore actuellement, dans certains lieux de culte, noirs et blancs sont séparés.
Mais à l'avenir, à échéance d'une trentaine d'année, les blancs seront minoritaires et, plus étonnant encore, alors que l'anglais sera toujours la langue la plus pratiquée dans le monde occidental, aux États-Unis, ce sera l'espagnol qui le sera.
Il serait grand temps que le pays se ressaisisse et que les futurs présidents favorisent l'union et la concorde au lieu de l'affrontement comme le fait Donald Trump, car en un demi siècle on pourrait voir apparaître une nouvelle forme de racisme que l'on pourrait cette fois qualifier d'anti-blanc.

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