mardi 3 janvier 2023

 COVID-19: BIS REPETITA

Il y a trois ans un virus parti de Chine s'est répandu dans le monde entier et a été à l'origine de la pandémie de covid-19. Un moyen provisoire de lutter contre cette pandémie, en attendant de disposer de vaccins, a été le confinement associé au port du masque. Qui a le plus vendu et exporté de masques ? La Chine.

L'industrie du masque s'est alors développée un peu partout et notamment en France pour éviter cette dépendance à l'Empire du Milieu. En raison de l'efficacité de nouveaux vaccins ARN messager, le port du masque est devenu de plus en plus rare et les industriels qui ont voulu nous équiper ont vu leurs entreprises péricliter. Pire que cela, en raison de leur prix, les masques chinois ont été préférés à ceux de la production nationale.

Tous les pays, pour maîtriser la pandémie, avec plus ou moins de réussite, ont fait succéder la vaccination au confinement tout en conseillant de respecter ce que l'on a appelé les gestes barrières. La Chine a choisi la voie que seule une dictature peu prendre: confiner à long terme des dizaines de millions de chinois pour empêcher le virus de se développer.

Tous les épidémiologistes savaient, et ont fait savoir, que cette démarche ne pouvait mener qu'à l'échec.

Maintenant que sous la pression de la rue, Xi Jin Ping, le dictateur chinois, a été obligé de lever le confinement, le virus, comme prévu, se répand, se duplique et apparait sous la forme de nouveaux variants pour envahir le monde.

Nous voila revenu, encore une fois à cause du pouvoir chinois, au début de l'année 2020, en espérant que nos vaccins seront efficaces pour lutter contre les nouveaux variants. Le port du masque va redevenir obligatoire.

Mais, où allons nous nous procurer ces masques ? Évidemment en Chine.

La boucle est bouclée.

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