Après les PTT qui ont donné naissance après leur éclatement à la Poste et à Orange, avec les dégâts que l'on sait pour le personnel et qui se traduisent par le procès du PDG en raison des suicides constatés.
Après la SNCF coupée en deux pour donner naissance à RFF (Réseau Ferré France) et finir par se reconstituer par un stratagème permettant une fusion nouvelle des entités proches, et aboutir à un déficit colossal de 40 milliards d'euros et un réseau ferré en décrépitude.
C'est maintenant au tour d'EDF lesté de 33 milliards d'euros de dette d'envisager de se couper en deux avec une filiale, détenue par l’État, pour essentiellement traiter les problèmes de l'énergie nucléaire, et une autre, partiellement privatisée pour les énergies renouvelables et la vente d'électricité.
Que c'est difficile de vouloir défendre un modèle social, ou tout au moins faire croire que l'on veut le faire, quand on veut aussi entrer de plein pied dans une mondialisation où l'ultralibéralisme est roi.
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