Lorsqu'une offre d'emploi est publiée, actuellement en raison du chômage, les candidatures abondent et nombreux sont les déçus non retenus.
S'il y a un endroit où cela n'existe pas, bien au contraire, c'est au gouvernement. Les lauréats potentiels font savoir, par anticipation, qu'ils ne souhaitent pas occuper ces postes pourtant prestigieux. C'est le cas de Martine AUBRY, de Bertrand DELENOË et de Nicolas HULOT. Quelle en est la raison? Ne se sentent-ils pas à la hauteur de la tâche ou ont-ils peur de se compromettre?
Par contre, en dehors de toute demande individuelle, les suggestions vont bon train pour le poste de Ministre de Affaires Etrangères. Il semblerait qu'un germanophone soit souhaitable, Jean-Marc AYRAULT ou Matthias FEKL par exemple, tout en pensant au respect de la parité. D'autres hommes politiques germanophones existent, Daniel COHN-BENDIT ou Bruno LEMAIRE, mais je pense que sans l'exprimer ils ne doivent certainement pas faire partie des candidats. Ces quatre personnalités sont pourtant représentatives de la société française actuelle puisque deux d'entr'elles ont la double nationalité.
Mais, ceux qui aimeraient faire partie du gouvernement n'osent s'exprimer, certains comme un trio d'écologistes dissidents frappent pourtant depuis longtemps à la porte, et de plus on y trouve une femme. Une autre femme qui a déjà occupé des postes prestigieux pourrait réapparaitre, n'est-ce pas Madame Elisabeth GUIGOU.
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