jeudi 5 juillet 2018

LE TRAVAIL DES EMIGRES

Au moment où les pays de l'Union Européenne traitent les émigrés comme une marchandise en se "refilant la patate chaude" pour définir le moyen de les accueillir ou de les refuser, il serait peut-être bon de rappeler quelques vérités.
-Qui serait descendu au fond des mines de fer et de charbon si les polonais et les italiens n'étaient pas venus en France ?
-Qui aurait balayé les stations et les couloirs du métro si les africains ne l'avaient pas fait ?
-Qui aurait manié la pelle et la pioche dans les travaux de génie civil pendant que d'autre utilisaient des outils mécaniques plus performants, si portugais, algériens et autres étaient restés chez eux ?
-Qui fait marcher l'économie parallèle en Italie en alimentant le travail noir?
-Qui travaille la terre dans le sud de l'Espagne ?
-Qui garde les enfants et fait les travaux domestiques notamment aux États-Unis à tel point que l'espagnol est en passe de devenir la première langue parlée dans ce pays ?
Et après cela on voudrait n'accueillir que les émigrés de haut niveau alors que notre devoir est de les former pour qu'ils retournent dans leur pays pour le mettre en valeur, ce qui constitue la seule solution pour limiter l'immigration.

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